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Le maçon saint-amandois accusé de refus d’obtempérer et de dégradation a été relaxé ce mercredi

Par La Rédaction
jeudi 15 août 2024 à 18h55
La Police Municipale lors d'une intervention © Archives / Le Factuel

La Police Municipale lors d'une intervention © Archives / Le Factuel

Ce mercredi, le tribunal correctionnel de Bourges a prononcé la relaxe d’un homme originaire de Saint-Amand-Montrond, présenté pour des faits de refus d’obtempérer,
de dégradation d’un véhicule de gendarmerie et de conduite malgré l’annulation de son permis de conduire.

Ce dernier était en état de récidive légale, mais les éléments du dossier n’ont
pas suffi à convaincre le tribunal. Le procès, initialement prévu le 19 juin, avait été renvoyé pour permettre au prévenu de préparer sa défense. Une seconde audience, fixée au 29 juillet, avait également été annulée en raison de l’absence de l’avocat du prévenu. Ce n’est donc que ce mercredi 14 août que l’affaire a pu être examinée.

Les faits reprochés au Saint-Amandois remontent au 10 juin 2024. Ce jour-là, sur la route départementale 2144, les gendarmes ont été alertés de la présence d’un véhicule circulant à une vitesse excessive de 143 km/h, alors que la limite était fixée à 90 km/h.

En tentant d’intercepter le conducteur, les gendarmes ont été confrontés à un refus d’obtempérer, entraînant une course-poursuite qui s’est terminée à Coust. Coincé entre un cours d’eau et le véhicule de gendarmerie, le prévenu aurait alors reculé, emboutissant le véhicule des forces de l’ordre.

« Le prévenu, âgé de 29 ans et maçon, a expliqué ne pas être l’homme au volant du véhicule, celui-ci ayant été vendu au préalable. Il indique qu’il était sur un chantier de maçonnerie à l’heure des faits, attestation de son employeur à l’appui » a relayé Le Berry Républicain, avant de rajouter que « L’avocate des gendarmes, Me Emma Talureau, souligne qu’en dépit du fait que son patron assure que le prévenu était sur son chantier jusqu’à 17 heures, son emploi du temps le fait terminer à 16 h 30 le lundi, jour des faits ».

Toujours selon Le Berry Républicain, la défense, incarnée par Me Maëva Duret, a « plaidé la relaxe, au vu “du sérieux doute” qui demeure. Elle assure que le prévenu doit passer, après chaque chantier, au local de l’entreprise, endroit où sa femme vient le chercher car il n’a pas le permis de conduire ».

La relaxe a été décidée par le tribunal.

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